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Chappell Roan : « La célébrité est un abus »

L’une des grandes histoires pop de cette année est l’ascension rapide et étonnante de Chappell Roan, la pop star nouvellement couronnée qui semble profondément ambivalente quant à sa propre célébrité. Ces dernières semaines, Roan a fait les gros titres en essayant d’établir des limites entre elle et ses fans. Elle parle plus en détail du caractère envahissant de la visibilité publique dans une nouvelle fonctionnalité dans Le visageaffirmant que son travail l’oblige désormais à interagir avec des personnes qui dégagent « l’ambiance d’un ex-mari violent ».

Dans sa récente Pierre roulante histoire de couvertureChappell Roan a parlé de tout le soutien qu’elle a reçu de ses collègues femmes pop stars. Le visage Le reportage contient d’autres histoires de ce genre — elle dit que Lady Gaga et Charli XCX l’ont « immédiatement, immédiatement soutenue » lorsque sa carrière a commencé à décoller — et que « personne ne la comprend, sauf les autres artistes ». Elle continue :

Je suis ambitieux à l’idée de rendre cela durable. C’est mon plus grand objectif en ce moment. Mon cerveau se dit : arrête tout de suite, prends une année de congé l’année prochaine… Cette industrie et cet art prospèrent grâce à la maladie mentale, au burnout, au surmenage, aux efforts excessifs, au manque de sommeil. Plus on est en mauvaise santé, plus on grandit. N’est-ce pas vraiment dégueulasse ?… L’ambition est la suivante : comment ne pas me détester, ne pas détester mon travail, ne pas détester ma vie, et ne pas faire ça ? Parce qu’en ce moment, ça ne marche pas. Je me démène juste pour essayer de me sentir en bonne santé.

Dans l’article, Roan décrit une rencontre troublante qu’elle a eue tôt un matin à l’aéroport :

Je sors de la voiture, il est 5h30 du matin, et il y a deux gars qui m’attendent avec un tas de posters et tout ce qu’il y a à signer. Je sais qu’ils ne sont pas fans. J’ai dit non. Je leur ai dit : « Je ne signe rien à l’aéroport, je suis désolé. » [One of them] Il me suit jusqu’à la ligne TSA, commence à me crier dessus et tout le monde se retourne et me regarde. Il me dit : « Tu devrais vraiment t’humilier. Sais-tu où tu es en ce moment ? N’oublie pas d’où tu viens. » Je me dis juste : « Qu’est-ce qui se passe ? » Je me suis dit que si jamais ça devenait dangereux, je pourrais arrêter. C’est dangereux maintenant, et je continue. Mais ce n’est pas ce pour quoi je me suis engagé… J’ai l’impression que la célébrité est juste abusive. L’ambiance de ça – traquer, dire de la merde en ligne, [people who] Il ne te laisse pas tranquille, il te crie dessus en public, voilà l’état d’esprit d’un ex-mari violent. C’est ce que je ressens. Je ne savais pas que ça serait aussi horrible.

Roan dit qu’elle est allée dans les toilettes d’un aéroport pour pleurer et envoyer un SMS à Lorde pour lui demander conseil : « Elle m’a envoyé une liste de choses que je devrais faire [in that situation]. Elle a littéralement écrit huit choses qu’elle aurait aimé que quelqu’un lui dise quand elle traversait cette épreuve. Et elle a vécu un enfer. C’était un bébé !

Mais Roan parle aussi de l’inspiration qu’elle ressent à l’idée d’aider les gens qui traversent des moments difficiles : « Je ne peux plus lire mes messages privés, parce que je pleure trop. » Et elle dit qu’elle se sent un peu mal à l’aise à l’idée des cérémonies de remise de prix auxquelles elle pourrait participer dans le futur : « Ma mère adorerait aller aux Grammys ou aux Brit Awards… J’espère ne pas gagner, parce qu’alors tout le monde me lâchera les fesses : ​ »Voyez les gars, on l’a fait et on n’a pas gagné, au revoir ! » Je n’aurai plus à refaire ça ! » Vous pouvez lire le profil complet ici.

Chappell Roan a également récemment confié à Konbini que son single à succès « Good Luck, Babe ! » s’appelait à l’origine « Good Luck, Jane ! » : « Je l’ai écrit parce que je suis tombé amoureux d’une fille et elle a commencé à sortir avec ce putain de loser de mec. »

Pierre roulante couru quelques extraits d’interviewsaussi. Dans l’une d’elles, Chappell Roan dit qu’elle est « trop fatiguée » pour faire un clip pour « Good Luck, Babe! » : « Savez-vous à quel point c’est difficile de faire un clip quand on est aussi épuisé et brûlé ?… J’ai tenu bon et j’ai dit que je n’allais pas saisir toutes les opportunités sociales. Je n’allais pas accepter tous les contrats de marque. Je n’allais pas accepter toutes les suggestions, parce qu’au bout du compte, c’est moi qui fais le travail manuel que tout le monde pense que je devrais faire. »

Roan dit aussi qu’elle a « tiré [herself] Elle a décidé de planifier un thème général pour chaque concert : « Les gens adorent ça, alors je le fais pour eux à ce stade parce que ça signifie vraiment beaucoup pour eux, et ça signifie beaucoup pour moi. Mais maintenant, je suis coincée dans tous ces putains de thèmes… Je pense qu’on va finir par en manquer, donc j’appréhende ça, mais j’aime garder ça bizarre et frais parce que c’est excitant pour les fans de se dire : « Oh mon Dieu, dans quoi va-t-elle sortir ? » »



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