Lorsque vous envoyez des e-mails à vos collègues, assurez-vous de ne pas vous fier à ces habitudes de communication, car de nombreux employés les trouvent ennuyeuses ou offensantes, selon un récent sondage.
L’enquête de LiveCareer, une plateforme d’aide à la carrière en ligne, a révélé les habitudes de messagerie les plus détestées à éviter en 2023. Plus de 1 000 employés ont été interrogés afin d’examiner les attitudes générales à l’égard de la communication numérique sur le lieu de travail et les meilleures et les pires pratiques de communication par courrier électronique au travail.
L’étude indique que les e-mails sans message d’accueil personnel, commençant par un « hé » ou « hé », commençant un e-mail par « comme discuté » et signant un e-mail avec « chaleureusement » ou « regards » sans mentionner votre nom, doivent être évité.
L’étude a également révélé que demander des confirmations de lecture est un comportement acceptable lorsqu’il s’agit d’e-mails en milieu de travail et que 80 % des répondants étaient d’accord avec l’énoncé. Pas moins de 75 % ont déclaré que l’envoi et l’envoi d’e-mails sans relecture étaient un comportement acceptable et 75 % ont déclaré qu’il était acceptable de mettre les destinataires en Cci sur les e-mails professionnels.
De plus, 39 % des répondants ont déclaré qu’il fallait s’attendre à une réponse à un courriel trois à six heures après son envoi.
Et près de la moitié (49 %) des répondants ont déclaré que leur mode de communication préféré à des fins professionnelles était le courrier électronique.
Cependant, 83 % des travailleurs ont convenu que la communication en ligne est plus susceptible de provoquer des malentendus que la communication en personne.
La majorité des répondants (81 %) ont également déclaré que la communication en ligne prend plus de temps que la communication en personne.
Dans l’ensemble, ce sont les autres péchés de communication en milieu de travail, selon l’enquête :
• E-mails décousus
• Plusieurs e-mails lorsqu’un seul suffirait
• Les personnes qui envoient des liens brisés
• Recevoir des SMS pendant les repas
• Interrompre une conversation
• Ne pas se sentir en sécurité, manque de confiance dans la cybersécurité des e-mails
• Taille de la pièce jointe (pas assez grande)
• Le flou dans les messages
• Répondre avec des réponses en un mot
• L’impolitesse
Selon l’étude, 40 % des travailleurs passent deux à trois heures par jour à lire et à répondre aux e-mails, tandis que 10 % des personnes interrogées ont déclaré passer moins d’une heure par jour à consulter leurs e-mails.
Lorsqu’il s’agit de nettoyer une boîte de réception ou de trier des e-mails, 37 % des travailleurs déclarent passer de deux à trois heures par semaine à le faire, et 3 % des répondants déclarent qu’il faut plus de quatre heures pour nettoyer leur boîte de réception et trier leurs e-mails chaque semaine. Le pourcentage de personnes qui y consacrent moins d’une heure par semaine est de 12 %.
Lorsqu’on a demandé aux répondants au sondage s’ils avaient atteint la boîte de réception zéro après avoir nettoyé ou trié leurs boîtes de réception, 62 % ont répondu oui et 38 % ont déclaré que non.
MÉTHODOLOGIE
LiveCareer déclare que ses conclusions ont été obtenues en interrogeant 1032 personnes en ligne à l’aide d’un outil de sondage. Selon la méthodologie que la plateforme a incluse dans son rapport, les répondants « ont été interrogés sur un large éventail de questions concernant la communication sur le lieu de travail (c’est-à-dire l’étiquette des e-mails et de la messagerie instantanée, les choses à faire et à ne pas faire, les attitudes à l’égard de la communication en ligne à des fins professionnelles, etc.). Celles-ci comprenaient des questions oui/non, des questions basées sur une échelle relatives aux niveaux d’accord avec un énoncé, des questions qui permettaient de sélectionner plusieurs options dans une liste de réponses potentielles et une question qui permettait des réponses ouvertes. Tous les répondants inclus dans l’étude ont réussi une question de contrôle de l’attention.
Le reportage de cette histoire a été payé par le biais du projet Afghan Journalists in Residence financé par Meta.