The legend of break-dancer uh… RayGun will not die, but you know what will die?
The original title of a musical based on the Aussie breakdancer and her infamous performance at the 2024 Olympics in Paris.
We all remember the performance that made university lecturer Rachael Gunn, AKA, B-Girl RayGun, a household name. For that reason, it was only a matter of time before the breakdancer known for hopping around like a kangaroo and flopping like a trout someone just reeled into a canoe, became the inspiration for various artistic works.
One such work is RayGun: the Musical, penned by comedian Stephanie Broadbridge.
The show was set to premiere in Sydney. However, the show’s debut performance was canceled just hours before showtime with RayGun’s legal team stepping and even telling Broadridge she couldn’t do the infamous kangaroo dance because RayGun owns it.
Je veux dire, je comprends en quelque sorte les deux côtés ici.
D’une part, j’ai l’impression que RayGun a besoin de s’alléger un peu. Mais d’un autre côté, je comprends qu’elle veuille protéger sa « marque ».
De plus, si quelqu’un écrivait une comédie musicale sur ma mauvaise performance olympique, je ne pense pas que j’en serais très excité.
Cependant, selon le Presse associéeles deux parties sont parvenues à un accord pour que l’émission change son nom en Breaking : la comédie musicale, accompagné d’un nouveau slogan très drôle : « Une comédie musicale parodique tout à fait légale ».
Curieusement, les querelles juridiques ont apporté beaucoup de notoriété à ce qui est autrement un petit spectacle dans un club de comédie. Désormais, grâce aux tentatives de l’équipe de RayGun pour l’arrêter (pouvez-vous dire « effet Streisand ? »), le spectacle aura désormais des représentations supplémentaires à Adélaïde, Melbourne et plus encore à Sydney au début de l’année prochaine.