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Un sonar de la marine chinoise fait exploser des marins australiens ; Les retombées menacent le gouvernement pro-chinois australien

Dans la dernière d’une série de provocations dangereuses et presque guerrières, un destroyer de la Marine populaire de libération (APL-N) s’est rapproché d’une frégate australienne en panne et a utilisé un sonar actif pour harceler les plongeurs effectuant des réparations sous-marines. La provocation a eu lieu dans les eaux internationales.

Des marins australiens ont été blessés dans l’incident, qui a surpris Anthony Albanese, le Premier ministre australien pro-chinois, en plein milieu d’une campagne diplomatique très médiatisée en faveur d’un rapprochement avec la Chine. Plutôt que de s’attaquer directement à la crise, le gouvernement australien a enterré la nouvelle, laissant Albanese sortir de son voyage international par ailleurs fructueux avec l’air dangereusement faible et déconnecté de la réalité.

Un Australien déclaration du gouvernement, décrivant l’attaque du 14 novembre, suggère fortement que l’incident n’était pas un accident. Il est de notoriété publique que, pour les plongeurs, les sonars actifs de qualité militaire sont extrêmement dangereux, capables de provoquer une perte auditive, une hémorragie interne et la mort.

Le navire australien harcelé, le HMAS Toowoomba (FFH 156), est une frégate de classe Anzac. À l’époque, il était « arrêté pour mener des opérations de plongée afin de dégager les filets de pêche qui s’étaient emmêlés autour de ses hélices ». La frégate, opérant dans les eaux internationales de la zone économique exclusive japonaise, « a communiqué son intention de mener des opérations de plongée » via les canaux maritimes normaux et a utilisé des signaux internationalement reconnus.

Un destroyer PLA-N Type 956EM à proximité, le Ningbo (DDG-139), puis fermé sur le HMAS Toowoomba. Le navire chinois a pris connaissance des avertissements de la frégate mais a continué son approche. Selon le gouvernement australien, « peu de temps après, il a été détecté en train d’utiliser son sonar monté sur la coque d’une manière qui présentait un risque pour la sécurité des plongeurs australiens ». Les plongeurs australiens ont quitté l’eau et ont ensuite été soignés pour des blessures aux oreilles, probablement dues aux éclats de sons sous-marins émis par le sonar.

HMAS Toowoomba était, à l’époque, « en route pour commencer une escale prévue au port » et s’efforçait de faire appliquer les sanctions de l’ONU contre la Corée du Nord. Début novembre, la frégate avait participé à une série d’opérations multinationales des exercices au large de la côte sud-est de la Corée du Sud, travaillant à améliorer les missions coopératives d’abordage, anti-sous-marines et anti-aériennes. Il n’y a eu aucune indication publique que le navire australien ait fait quoi que ce soit pour provoquer ou mériter un harcèlement de la part des forces militaires chinoises.