Trump vise le jury du prix Pulitzer — RT World News

L’ancien président américain Donald Trump s’en est pris au conseil d’administration du prix Pulitzer, après qu’un examen des relations entre son bureau et la presse a été publié par la Columbia Journalism Review (CJR). Il avait précédemment déposé une plainte contre le corps.
Dans un article sur son réseau Truth Social lundi, Trump a fustigé le Washington Post et le New York Times pour leur couverture gagnante du Pulitzer de « le canular Russie, Russie, Russie. » Il a appelé la pièce CJR « dévastateur, irréfutable », et a affirmé que son procès contre le conseil « remettre les pendules à l’heure ».
Trump a poursuivi le conseil d’administration en décembre dernier devant un tribunal du comté d’Okeechobee, en Floride, alléguant que cela avait nui à sa réputation en refusant plus tôt dans l’année de révoquer le prix de l’actualité nationale 2018. Le prix a été décerné au Post et au Times pour leur couverture de la campagne Trump et de sa prétendue collusion avec la Russie.
Le mois dernier, un juge de district américain a cité la plainte en justice, entre autres, déposée au nom de Trump, qui, selon la décision, constituait une « modèle d’abus des tribunaux » avec des poursuites frivoles contre des opposants politiques. Le tribunal a condamné Trump et son avocat à payer une amende de près d’un million de dollars.
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L’examen du CJR a été publié fin janvier et est décrit comme « un retour sur ce que la presse a bien compris et ce qui s’est mal passé » sur la présidence de Trump. Il a noté que « peu d’organisations de presse ont sérieusement pris en compte ce qui s’est passé » pendant ce temps, et que cet échec « façonnera presque certainement la couverture de ce qui nous attend. »
La relation était « une guerre non déclarée entre des médias enracinés et un nouveau type de présidence perturbatrice », selon le rapport. Trump et « ses acolytes dans les médias conservateurs ont alimenté la tempête politique qui a suivi, mais les points chauds les plus chauds ont émergé du travail du journalisme grand public », Ça disait. De nombreux reportages sur le Russiagate « s’est avéré être considérablement défectueux ou basé sur des informations non corroborées ou démystifiées. »
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