REGARDER | De nouvelles données relient les chiens viverrins à la propagation précoce de Covid-19
Une nouvelle analyse du matériel génétique collecté de janvier à mars 2020 au marché des fruits de mer de Huanan à Wuhan, en Chine, a découvert de l’ADN animal dans des échantillons déjà connus pour être positifs pour le SRAS-CoV-2, le coronavirus qui cause le Covid-19, CNN signalé.
Une quantité importante de cet ADN semble appartenir à des animaux connus sous le nom de chiens viverrins, qui étaient connus pour être commercialisés sur le marché, selon des responsables de l’Organisation mondiale de la santé, qui ont abordé les nouvelles preuves lors d’un point de presse la semaine dernière.
Selon CNN, les nouvelles découvertes – qui n’ont pas encore été publiées publiquement – ne règlent pas la question de savoir comment la pandémie a commencé. Ils ne prouvent pas que les chiens viverrins ont été infectés par le SRAS-CoV-2, ni que les chiens viverrins étaient les premiers animaux à infecter les gens.
Les chiens viverrins sont des chiens sauvages dont le visage ressemble à celui d’un raton laveur, selon Radio Nationale Publique. En termes un peu plus scientifiques, les chiens viverrins font partie de la famille des canidés avec des marques de fourrure et des formes de tête similaires à celles des ratons laveurs.
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