Poutine sera parti d’ici un an et l’Occident DOIT être prêt pour son terrifiant remplaçant, prévient l’ex-espion du MI6

Le règne de la poigne de fer de VLADIMIR Poutine, qui a duré 20 ans, prendra fin d’ici un an, a affirmé un ancien espion du MI6.

Christopher Steele, qui dirigeait le MI6 Russie entre 2006 et 2009, a déclaré que l’Occident devait « se préparer à la fin de l’ère Poutine ».

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Après deux décennies au pouvoir, le contrôle autrefois indiscutable de la Russie par Poutine semble avoir pris fin après la rébellion de Wagner et la désastreuse guerre d’Ukraine.

Après l’extraordinaire mutinerie d’Evgeny Prigozhin, les experts ont averti que les « araignées venimeuses » du Kremlin étaient à la recherche de sang.

Présentant des scénarios possibles, Steele a suggéré que le tyran pourrait être assassiné par des rebelles internes – ou par un complot extérieur à la Russie.

Il a dit Nouvelles du ciel ce serait le pire scénario pour l’Occident car « tous les paris seraient ouverts » – avec probablement « un bain de sang ».

Mais Steele a également souligné « des sources très crédibles nous disant qu’il était malade depuis un certain temps » – suggérant que Poutine pourrait mourir subitement de maladie.

Le chef pourrait être renversé par une rébellion armée, ou même décider qu’il est temps d’aller se retirer au suivant élection en mars 2024, a ajouté Steele.

Mais il a expliqué que la fin la plus probable pour Poutine serait un mouvement « violent » pour le tuer ou le renverser.

« Un mouvement est fait violemment, si nécessaire, pour tuer ou renverser Poutine en faveur d’un autre sécurocrate ou oligarque du régime », a déclaré Steele.

« Mais [it will be] celui qui a pris ses distances avec la guerre et est prêt à négocier pour y mettre fin véritablement avec l’Occident.

Et l’ancien espion a révélé le directeur du FSB Alexander Bortnikov pourrait être l’un des favoris pour prendre le pouvoir à Poutine, a déclaré Steele.

Il a déclaré que « l’étoile montante » Aleksey Dyumin, le gouverneur de l’oblast de Tula, est un autre successeur potentiel, aux côtés de l’oligarque Igor Sechin et de l’ancien Premier ministre russe Viktor Zubkov.

Bortnikov est l’actuel directeur du FSB russe, ce qui en fait l’une des personnes les plus puissantes de Russie et un membre influent du cercle restreint de Poutine.

Comme Poutine, il est un ancien officier du KGB et a rencontré Poutine pour la première fois alors que le couple était en poste ensemble à Leningrad – aujourd’hui Saint-Pétersbourg – dans les années 1970.

Depuis qu’il a endossé ce rôle puissant en 2008, le terrifiant maître-espion aurait transformé le FSB en « épée punitive » du régime de Poutine.

L’organisation est à la fois le cerveau et le cœur du gouvernement de Poutine et se comporte comme un « État dans l’État », selon le Dossier Center.

Peu de temps après que Poutine ait été nommé président par intérim, Bortnikov a d’abord été nommé à la tête du Service de sécurité économique de la Russie, exerçant un pouvoir et une influence énormes.

Il est également l’une des rares personnes en Russie à avoir obtenu le rang de Armée Général.

Et en 2006, il a été affirmé que Bortnikov était impliqué dans l’opération d’assassinat d’Alexandre Litvinenko.

Mais Steele a déclaré que Poutine pourrait choisir de soutenir Dmitry Patrushev, fils du secrétaire du Conseil de sécurité russe, ou Aleksey Dyumin en tant que prochain dirigeant de la Russie.

Et il a averti que cela signifierait « peu ou pas de changement dans la guerre en Ukraine“.

« Mais au moins l’Occident serait confronté à un dirigeant russe qui ne s’est pas avéré indigne de confiance, un menteur et qui n’est pas inculpé de crimes de guerre », a ajouté Steele.

Steele a déclaré: «Je pense qu’il y a actuellement une réelle inquiétude parmi les personnes clés de la direction.

« Pas seulement dans les forces armées où les généraux critiquent ouvertement Poutine et le Kremlin pour son soutien à la guerre – ce qui est inouï – mais plus généralement l’idée de la trajectoire de la Russie aujourd’hui : dirigée par un président inculpé pour crimes de guerre, qui conduit l’économie russe sur une certaine voie.

Steven L. Hall, un ancien responsable du renseignement russe de la CIA, a déclaré que l’élite militaire russe constituait une « menace réelle » pour Poutine.

« Des hommes comme Patrushev et Bortnikov possèdent non seulement un pouvoir dur, mais ils savent comment l’utiliser et sont enclins à le faire », a-t-il déclaré. Le Washington Post l’année dernière.

« Les siloviki sont prêts à utiliser ce mélange mortel de puissance dure et de secret lorsqu’une menace sérieuse pour le système kleptocratique russe émerge. »

Siloviki russe se traduit par « gens de force » ou « hommes forts » – le terme donné aux anciens militaires qui occupent maintenant des postes politiques.

M. Hall a ajouté : « Ils ont des armes et le personnel pour menacer Poutine.

« Ils savent comment opérer sous le radar de Poutine, car ce sont eux qui sont en charge du radar lui-même.

« Et s’il est raisonnable de supposer que Poutine a des moyens de surveiller les siloviki, il ne sera pas en mesure de suivre leurs actions en permanence et avec une grande précision, compte tenu de tous les autres problèmes dans son assiette. »