
“La nationalisation d’ArcelorMittal, géant de la sidérurgie, a récemment été remise sur le tapis par divers acteurs politiques et économiques. Pourtant, tout porte à croire que cette option n’est pas en faveur du Ministère de l’Industrie. Voici pourquoi.
Le Ministère de l’Industrie estime que la nationalisation d’ArcelorMittal n’est «pas la bonne réponse». Selon lui, une telle mesure pourrait avoir des conséquences néfastes sur l’économie du pays et la compétitivité de l’entreprise. Il craint également que cela n’envoie un mauvais signal aux investisseurs étrangers, qui pourraient y voir une menace pour leur propre investissement.
Cependant, le ministre de l’Industrie n’a pas exclu d’autres alternatives pour aider ArcelorMittal à surmonter ses difficultés. Il a notamment évoqué des mesures de soutien financier, des allégements fiscaux ou encore des aides à la modernisation des installations de l’entreprise. Il a également souligné l’importance d’une coopération étroite entre l’entreprise, les syndicats et le gouvernement pour trouver une solution durable.
En conclusion, bien que la nationalisation d’ArcelorMittal puisse sembler une solution attrayante pour certains, le Ministère de l’Industrie estime qu’elle n’est pas la meilleure option. Il préconise plutôt une approche collaborative et des mesures d’aide ciblées pour assurer l’avenir de ce géant de la sidérurgie.”