Pour apaiser la crise, le logement devrait être taxé différemment, les loyers subventionnés
Profit et logement abordable ne font pas bon ménage, 21 mai
Je suis tout à fait d’accord avec la prémisse selon laquelle on ne peut pas fixer à la fois le prix du logement comme un logement et un investissement sans conséquences, ainsi que le besoin de promoteurs à but non lucratif. Mais ce n’est pas aussi loin que ça va.
Le problème fondamental est qu’en décidant de ne pas imposer les plus-values sur une résidence principale, la balance a basculé vers la tarification du logement comme un investissement.
Cela a transformé au moins la moitié du pays en petits capitalistes en raison de la possession d’une maison.
La culture met fortement l’accent sur le logement en tant qu’investissement — l’épargne-retraite forcée.
Mettre des plus-values sur une résidence principale est un non-démarreur politique.
Une solution potentielle pourrait être de commencer un impôt sur les gains en capital pour une partie des ventes supérieures à, disons, 2 millions de dollars, puis de le réduire au fil du temps.
Une autre approche pourrait passer par la taxe foncière.
La taxe foncière est un impôt forfaitaire.
Et si c’était progressif comme l’impôt sur le revenu, où, disons, le premier million de dollars d’évaluation était à un taux et le million suivant à un taux plus élevé et ainsi de suite?
De plus, étant donné le coût de construction d’une unité, il y a un segment de la population qui ne peut pas payer les loyers nécessaires pour que le promoteur récupère le coût.
Il faut un financement pour subventionner les loyers.