« Nous nous réunissons ce soir avec un objectif commun. »
Pour la comédienne Nikki Glaser, c’était une excellente prémisse à la recherche d’une meilleure punchline.
Sur Zoom, trois jours après l’annonce des nominations pour les Golden Globes le mois dernier, elle a invité son équipe de 10 écrivains à proposer des idées pour le monologue d’ouverture qu’elle prononcera en tant qu’animatrice dimanche. Elle et les scénaristes étaient également ensemble pour un objectif commun, trouver quelque chose de plus drôle que : « Sortir d’ici avant que Dax Shepard ne vous demande de faire son podcast. »
Glaser, 40 ans, assise les jambes croisées dans un pantalon noir sur son canapé à West Hollywood, a aimé la blague mais a trouvé qu’elle était trop verbeuse. Et peut-être, dit-elle, que cela pourrait être plus dur. Un écrivain, Sean O’Connor, a suggéré : « Sortir sans avoir une conversation avec Jesse Eisenberg. »
Elle a souri et a dit qu’ils pourraient sortir des sentiers battus.
« Partez avant qu’Harrison Ford ne vous attaque. »
« Obtenir le numéro personnel de Ted Sarandos. »
« Voyez s’ils peuvent transformer une victoire aux Golden Globes en une apparition dans ‘Hot Ones’. »
Glaser a examiné chaque punchline poliment, répondant patiemment à chacune. Elle a décrit cela comme une période de lune de miel : Chaque blague semblait amusante et nouvelle. Elle a dit au groupe qu’ils étaient sur le point de former un superbe set. Lorsqu’elle refusait une idée, elle avait tendance à le faire avec éloge. (« Très bonne idée mais… ») Le slogan de la salle des écrivains aurait pu être : Faire gentiment des blagues méchantes.