Les «déclassifications» américaines des informations sur l’Iran sont «fictives», a tweeté le ministre des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif. Il a suivi le secrétaire d’État américain Mike Pompeo accusant l’Iran, sans preuve, d’abriter la base d’Al-Qaïda.
« Monsieur. «Nous mentons, trichons, volons» met fin pathétiquement à sa carrière désastreuse avec plus de mensonges bellicistes ». Zarif a écrit dans un message enflammé à la suite de la déclaration de Pompeo, faisant référence au secrétaire d’État américain par sa tristement célèbre citation de 2019.
De la désignation de Cuba à l’Iran fictif "déclassifications »et AQ affirme, M.« nous mentons, trichons, volons" termine pathétiquement sa carrière désastreuse avec plus de mensonges bellicistes.
Personne n’est dupe. Tous les terroristes du 11 septembre venaient de @SecPompeodestinations ME préférées de; AUCUNE d’Iran.
En avril 2019, Pompeo, un ancien directeur de la CIA, a déclaré en plaisantant que, pendant son temps à la tête du renseignement américain, « Nous avons menti, nous avons triché, nous avons volé » et même eu «Cours de formation» dans ces domaines. De nombreux commentateurs n’ont pas trouvé la citation drôle.
Zarif a dénoncé l’Iran «Déclassifications» et les affirmations de Pompeo sur ses liens avec Al-Qaïda, les appelant « fictif. » Il a également condamné la décision des États-Unis de réinscrire Cuba dans la liste des États qui soutiennent le terrorisme.
Le ministre a noté que les auteurs de l’attaque du 11 septembre orchestrée par Al-Qaïda venaient de Pompeo «Destinations préférées du Moyen-Orient; aucun d’Iran. »Sur les 19 pirates de l’air impliqués dans l’attaque du 11 septembre, 15 étaient des citoyens saoudiens, le reste venant des Émirats arabes unis, du Liban et d’Égypte.
Sa réponse sur Twitter est intervenue alors que Pompeo affirmait que c’était la poursuite incessante des États-Unis qui avait contraint Al-Qaïda à un «havre plus sûr» – soi-disant l’Iran. Le secrétaire d’État a ajouté que certains membres d’Al-Qaïda entretiennent des relations depuis des décennies au sein de la République islamique, bien qu’il n’ait fourni aucune preuve pour étayer ses affirmations.
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Les relations entre Washington et Téhéran sont particulièrement tendues depuis que le président Donald Trump s’est retiré unilatéralement de l’accord nucléaire iranien de 2015, accusant l’Iran de le violer secrètement. Les États-Unis ont ensuite réimposé des sanctions contre l’Iran, suivies de certaines restrictions supplémentaires, dans le cadre de leur «Pression maximale» campagne.
L’Iran a insisté à plusieurs reprises sur le fait qu’il avait suivi l’accord – ce qui avait été confirmé par l’Agence internationale de l’énergie atomique à l’époque. Finalement, Téhéran a répondu à la pression croissante des États-Unis en réduisant progressivement ses engagements au titre de l’accord.
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