Liz Truss portera un coup majeur aux conservateurs pour avoir permis à la gauche d’encadrer le débat sur l’économie et de promouvoir un programme éveillé
L’EX-PM Liz Truss portera un coup majeur aux conservateurs pour avoir permis à la gauche d’encadrer le débat sur l’économie et de promouvoir l’agenda éveillé.
Dans son premier grand discours depuis qu’elle a quitté le numéro 10, elle dira aujourd’hui que trop de collègues ont « détourné le regard » après la guerre froide.
Elle appelle également à des réductions des impôts et des dépenses sociales, ainsi qu’à un report des engagements de zéro émission nette.
Pendant ce temps, l’ancien chancelier Kwasi Kwarteng s’est retourné contre son ancienne patronne, Mme Truss, affirmant qu’elle n’était « pas prête » à devenir Premier ministre.
Truss souhaite que l’impôt sur les sociétés revienne à 19 pour cent et affirme que le Royaume-Uni devrait refuser de mettre en œuvre un impôt en attente sur les bénéfices transfrontaliers.
L’ancienne Première ministre rejettera les suggestions selon lesquelles ses réductions d’impôts n’étaient pas financées, affirmant que la réduction du taux plus élevé de l’impôt sur le revenu et de la « taxe de séjour » aurait augmenté les recettes sur cinq ans.
Elle affirmera également que Rishi Sunak a dépensé 35 milliards de livres sterling de plus qu’elle ne l’aurait fait dans le numéro 10.
Pendant ce temps, le parti travailliste a appelé hier soir le Premier ministre à bloquer la liste des honneurs de démission de Mme Truss, douze mois après le mini-budget.
Il a été rapporté que 14 personnes recevront un honneur, y compris la pairie.