Des études utilisant de nouveaux dispositifs de cartographie cérébrale et portables ont montré qu’une architecture urbaine peu stimulante peut nuire à la santé des résidentsentraînant une augmentation des taux de dépression, de cancer et de diabète. Des projets de recherche en Europe et en Amérique du Nord, notamment le projet eMOTIONAL Cities financé par l’UE et des études menées au Laboratoire de réalités urbaines de l’Université de Waterloo, mesurent les réponses physiologiques des individus à leur environnement. Les résultats poussent les architectes et les urbanistes à donner la priorité au bien-être humain dans la conception, certaines villes comme l’arrondissement de Newham à Londres incluant désormais des indicateurs de bonheur dans la planification économique.