La tireuse Manu Bhaker s’est rendue sur Twitter pour demander l’aide du ministre des Sports Kiren Rijiju et du ministre de l’Aviation Hardeep Singh Puri après qu’on lui ait demandé de payer 10 200 INR et qu’on lui ait empêché d’embarquer sur un vol à l’aéroport international Indira Gandhi de Delhi. Bhaker devait se rendre à Bhopal pour s’entraîner, mais dans une série de tweets, elle a révélé qu’elle avait été empêchée d’embarquer sur le vol 437 d’Air India et qu’on lui avait demandé de payer malgré tous les documents valides et le permis DGCA pour porter légalement des armes et des munitions.
La jeune femme de 19 ans a affirmé avoir été traitée comme une criminelle par un responsable de la compagnie aérienne. Elle a ajouté que le traitement qui lui avait été infligé était humiliant et a étiqueté le Premier ministre Narendra Modi, Rijiju, Puri, le ministre de l’Intérieur Amit Shah et Vasundhra Raje dans ses tweets.
Elle a ensuite remercié Rijiju dans un autre tweet après avoir été autorisée à embarquer.
Merci @KirenRijiju Monsieur. J’ai été embarqué après un solide soutien de vous tous, merci Inde. 🇮🇳🙏jai hind – Manu Bhaker (@realmanubhaker) 19 février 2021
Je pense que ce type de comportement n’est pas acceptable .Manoj Gupta n’est même pas humain. Il me traite comme si j’étais un criminel. Aussi sa charge de sécurité Ces personnes ont besoin d’une formation de base sur le comportement, espérons que le ministère de l’Aviation le saura et l’enverra au bon endroit @HardeepSPuri pic.twitter.com/UlzLy3v974– Manu Bhaker (@realmanubhaker) 19 février 2021
Ne me permettant pas de monter à bord du vol AI 437 à IGI Delhi et demandant maintenant 10200rs Malgré toute la documentation valide et le permis DGCA. En plus de cela, Manoj Gupta Air India Incharge et d’autres membres du personnel m’humilient bien que j’aie 2 armes et munitions@KirenRijiju @HardeepSPuri en attendant monsieur? pic.twitter.com/UJ3G8jgVa9– Manu Bhaker (@realmanubhaker) 19 février 2021
Kiren Rijiju intervient après que le tireur Manu Bhaker ait tweété accusant un responsable de l’aéroport de « la traiter comme une criminelle »