Le commissaire aux droits de la personne de la Colombie-Britannique cherche plus de réponses à un sondage sur les droits de la personne

Le commissaire aux droits de la personne de la Colombie-Britannique affirme que le logement et la pauvreté figurent parmi les principales préoccupations des organismes de services et de droits de la province, mais certaines voix clés n’ont pas encore été entendues.

Une déclaration du bureau de Kasari Govender indique que plus de 400 organisations ont répondu à son enquête de base visant à identifier les trois principaux problèmes de droits de l’homme en Colombie-Britannique.

Elle dit que 12 % des répondants ont mis le logement et le logement sur leur liste, et 8 % classent le revenu adéquat et la pauvreté parmi les préoccupations les plus urgentes.

Mais Govender dit que les contributions de Thompson-Okanagan, Cariboo, Kootenays, de la côte nord, du nord-est et de Nechako sont manquantes.

Elle exhorte les organisations de toutes les régions de la province à répondre au sondage afin que son bureau puisse mieux comprendre les problèmes de droits de la personne en Colombie-Britannique et évaluer les progrès.

L’enquête, qui a commencé le 4 mai et se termine le 9 juin, est ouverte aux dirigeants, aux membres du conseil d’administration et à d’autres personnes liées aux organisations communautaires et du secteur public impliquées dans le travail lié aux droits.

Les réponses aideront le bureau de Govender dans ses efforts continus pour « établir une base de référence à partir de laquelle les changements dans l’état des droits de l’homme en Colombie-Britannique peuvent être mesurés, pour identifier les priorités et proposer des solutions », indique le communiqué.

D’autres résultats préliminaires de l’enquête montrent que 25 % des personnes interrogées affirment que l’éducation et la sensibilisation au sein de la communauté sont l’un des moyens les plus efficaces de faire progresser les droits de l’homme.

L’organisation communautaire et la défense d’un changement législatif ont chacune le soutien de 18 % des répondants.

À ce stade du processus, les travailleurs de première ligne constituent le pourcentage le plus élevé des participants, à 36 %, suivis de la direction à 19 %.

La déclaration indique que des sondages ont également été renvoyés par des groupes représentant un certain nombre de populations, y compris les personnes autochtones ou racialisées, les personnes à faible revenu ou pauvres et les personnes ayant un handicap physique ou une maladie chronique.

La Presse canadienne

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Commission des droits de la personne