“En un geste qui a secoué la communauté universitaire, le Collège de France a récemment annulé un colloque sur la Palestine. Cette conférence devait être co-organisée avec un institut financé par le Qatar, un pays connu pour son soutien à la cause palestinienne.
L’annonce de cette annulation a surpris de nombreux observateurs et suscité un débat animé. Les responsables du Collège de France ont maintenu un certain flou sur les raisons de cette décision, ce qui a alimenté les spéculations.
Certains suggèrent que le Collège de France aurait cédé à des pressions politiques, tandis que d’autres pensent que l’institut qatari pourrait ne pas avoir respecté certains critères académiques ou éthiques.
Il convient de noter que le Qatar est souvent critiqué pour son rôle dans le financement d’organisations et d’événements liés à la Palestine. Certains pensent que le Collège de France aurait pu craindre une instrumentalisation politique de la conférence.
L’annulation de ce colloque soulève des questions importantes sur la liberté académique et la place de l’engagement politique dans le monde universitaire. Elle nous rappelle également que les institutions universitaires ne sont pas à l’abri des enjeux géopolitiques et des controverses qui les accompagnent.
Dans l’attente de clarifications, cette affaire continue de faire des vagues, et le débat sur les lignes rouges à ne pas franchir dans le cadre de la coopération universitaire internationale reste plus que jamais d’actualité.”
