L’administration trump et ses ‘attaques frontales’: une menace pour le droit international selon amnesty

Dans Actualités
avril 29, 2025

L’administration Trump, célèbre pour son approche non conventionnelle de la politique, est de nouveau sous le feu de la critique. Cette fois, c’est Amnesty International qui tire la sonnette d’alarme. L’organisation internationale de défense des droits de l’homme dénonce ce qu’elle qualifie d'”attaques frontales” de l’administration Trump contre le droit international.

Depuis son entrée en fonction en janvier 2017, Donald Trump a suscité de vives réactions dans le monde entier pour ses politiques parfois controversées. Mais pour Amnesty International, la situation est plus grave. Selon l’organisation, les actions et les politiques de l’administration Trump constituent une menace sérieuse pour l’intégrité du droit international.

Le droit international, qui est l’ensemble de règles et de principes régissant les relations entre les États, est un pilier essentiel de la paix et de la stabilité mondiales. Il sert de cadre pour la résolution pacifique des conflits, la promotion des droits de l’homme et la limitation de l’usage de la force dans les relations internationales.

Cependant, Amnesty International soutient que l’administration Trump a, à plusieurs reprises, bafoué ce cadre juridique. Des retraits controversés d’accords internationaux, comme l’Accord de Paris sur le changement climatique ou l’accord nucléaire iranien, aux attaques contre la Cour pénale internationale, l’organisation estime que ces actions menacent l’ordre juridique international.

La dénonciation d’Amnesty International est une mise en garde sérieuse. Elle souligne le danger que représentent ces “attaques frontales” pour le droit international et, par extension, pour la paix et la stabilité mondiales. Si les États se sentent libres de violer ou d’ignorer les règles du droit international, cela pourrait potentiellement conduire à un monde plus chaotique et plus dangereux.

Amnesty International appelle à une réponse internationale forte pour contrer ces attaques. L’organisation exhorte les autres États à défendre le droit international et à résister aux actions de l’administration Trump qui, selon elle, le menace.

En fin de compte, la question de la protection et du respect du droit international dépasse largement les frontières des États-Unis. C’est une question qui concerne tous les États et tous les citoyens du monde. Car, comme l’a si justement déclaré l’ancien Secrétaire général des Nations Unies, Kofi Annan : “Le droit international est la promesse que nous nous faisons les uns aux autres”. Et cette promesse doit être tenue, quels que soient les défis auxquels nous sommes confrontés.