Colère alors que l’écrivain New Statesman condamne le « meurtre brutal par la police » d’un terroriste islamiste qui a décapité un enseignant à l’extérieur de l’école française
- Dana Nawzar Jaf a remis en question la décision de la police de tuer le fanatique Aboulakh Anzorov
- M. Jaf, qui se décrit comme un activiste kurde, s’est adressé à Twitter pour condamner
- Il n’a pas condamné la décapitation elle-même et a qualifié la France de « en crise »
Un écrivain basé au Royaume-Uni a suscité l’indignation hier soir en condamnant la police française pour avoir abattu le terroriste islamiste armé qui a décapité le professeur Samuel Paty.
Dana Nawzar Jaf – un ancien chercheur Chevening à l’Université de Durham – a remis en question la décision de la police de tuer le fanatique tchétchène Aboulakh Anzorov, craignant que le terroriste ne les attaque ou que d’autres.
M. Jaf, qui se décrit comme un activiste kurde, s’était rendu sur Twitter et avait publié: « Je condamne pleinement le meurtre brutal et insensé par la police française du suspect musulman la nuit dernière.

Dana Nawzar Jaf (photo) – un ancien chercheur Chevening à l’Université de Durham – a remis en question la décision de la police de tuer le fanatique tchétchène Aboulakh Anzorov


Des parents musulmans, dont Brahim Chnina (à droite), s’étaient offusqués de la décision de l’enseignant tué, M. Paty (à gauche), de montrer ses caricatures de classe du prophète et l’avaient qualifié de « voyou »

Une photo d’un corps gisant au milieu de la route a été partagée en ligne avant que les procureurs anti-terroristes français ne confirment qu’ils enquêtaient sur une agression dans laquelle un homme a été décapité à la périphérie de Paris.

Le tueur s’est enfui dans la ville voisine d’Eragny-sur-Oise (photo) à environ trois kilomètres de l’endroit où la décapitation présumée a eu lieu, où il a refusé de se rendre et a été abattu par la police.
« Macron et son appareil de sécurité devraient expliquer au public quelle était la nécessité d’utiliser la force disproportionnée contre une personne soupçonnée d’un crime au couteau. La France est en crise.
M. Jaf – écrivain occasionnel pour le magazine de gauche New Statesman, n’a pas condamné la décapitation elle-même.
Son compte Twitter, qui porte la devise «Construire des ponts et détruire les idoles», a été inondé de commentaires en colère.
Une affiche a écrit: «La police a fait ce qu’elle devait faire. Ils protégeaient leurs citoyens.
Hier soir, M. Jaf, qui serait arrivé en Grande-Bretagne en tant qu’étudiant d’échange d’Irak en 2009, n’a pas pu être joint pour commenter.

M. Jaf, qui se décrit comme un activiste kurde, s’était rendu sur Twitter et avait publié: « Je condamne pleinement le meurtre brutal et insensé par la police française du suspect musulman la nuit dernière (photo)


La police est arrivée pour tenter d’arrêter le suspect de 18 ans, soupçonné d’avoir décapité vendredi un enseignant du collège. Des officiers français ont été vus pointant leurs armes à feu dans la rue vers le suspect hors du plan de la vidéo

Des enseignants arrivent pour déposer des fleurs devant le collège du Bois d’Aulne pour rendre hommage après l’assassinat d’un enseignant

Des personnes portant des masques faciaux allument des bougies devant un collège près de Paris où le père de l’un d’eux, Samuel Paty, avait travaillé

Des panneaux indiquent « Je suis Samuel » devant l’école de Conflans-Sainte-Honorine en hommage à M. Paty, tué vendredi
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