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Biden oublie le nouveau membre de l’OTAN — RT World News

Dans une autre gaffe, le président américain a laissé entendre que la Norvège, l’un des pays fondateurs du bloc, l’avait rejoint l’année dernière seulement.

Le président américain Joe Biden a confondu deux pays nordiques, la Finlande et la Norvège, en vantant la dernière vague d’expansion de l’OTAN au milieu du conflit ukrainien.

S’exprimant mardi lors de l’événement de campagne à Reno, dans le Nevada, Biden a rappelé une conversation avec l’ancien secrétaire d’État américain Henry Kissinger à l’automne 2023, quelques jours avant sa mort.

Selon le président américain, le diplomate chevronné lui a dit que de nombreux pays européens « regardé par-dessus [their] épauler la Russie avec une certaine effroi » jusqu’à ce que les États-Unis mettent le pied sur le continent. Biden a également affirmé que Kissinger l’avait félicité pour « renforcer[ing] L’OTAN n’a jamais été renforcée auparavant.»

« D’une certaine manière, vous avez uni l’Europe. Vous avez élargi l’OTAN et les frontières de l’OTAN en intégrant la Suède et la Norvège.» Il a en outre cité Kissinger disant : « ça a changé le monde. »





Biden faisait apparemment référence à la Finlande, qui partage une frontière de 1 340 km avec la Russie, qui a rejoint la Suède en demandant à devenir membre du bloc militaire dirigé par les États-Unis peu après le début du conflit en Ukraine. La Finlande est devenue membre de l’OTAN en avril 2023. La Suède n’a rejoint l’OTAN qu’au début du mois, après avoir traité les griefs de la Hongrie et de la Turquie.

La Norvège, quant à elle, était l’un des membres fondateurs de l’OTAN lors de la création du bloc en 1949.

Le président américain a été ridiculisé pour ses gaffes récurrentes. Plus tôt ce mois-ci, s’adressant à MSNBC, Biden a affirmé que Washington « il n’aurait pas dû aller en Ukraine », alors qu’en fait il faisait allusion à l’Irak et à l’Afghanistan. À la fin du mois dernier, il a également qualifié à tort le dirigeant chinois Xi Jinping de « le chef de la Russie ».

La semaine dernière, Biden a obtenu suffisamment de délégués aux primaires démocrates pour décrocher la nomination de son parti à l’élection présidentielle de novembre prochain, au cours de laquelle il est presque certain d’affronter l’archiviste et candidat républicain à la présidence, Donald Trump.

Dans le même temps, une enquête récente de l’Associated Press-NORC Center for Public Affairs Research a révélé que 63 % des adultes américains n’ont pas vraiment ou pas du tout confiance dans la capacité mentale de Biden à servir efficacement en tant que président. Trump ne s’en sort pas non plus, avec 57 % des sondés exprimant leur inquiétude quant à ses capacités mentales.

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