
“Le 21 septembre dernier, les éditions PUF (Presses Universitaires de France) basées à Paris ont été la cible de vandales. Une coïncidence troublante émerge de cet acte de destruction : c’était le jour de la sortie du livre polémique ‘Face à l’obscurantisme woke’. Ce pamphlet critique ouvertement le mouvement woke, accusé d’être une forme d’obscurantisme.
Le vandalisme a causé des dégâts considérables aux locaux des PUF. Les murs ont été tagués avec des messages obscènes et provocateurs. Les vitrines ont été brisées. Le personnel, bien que choqué par cet acte de violence, est resté indemne.
On ne peut s’empêcher de se demander si ces actes de vandalisme sont en lien avec la sortie du livre ‘Face à l’obscurantisme woke’. L’auteur de ce livre, un éminent universitaire français, y critique ouvertement le mouvement woke, qu’il perçoit comme une menace pour la liberté d’expression et la diversité d’opinion.
L’attaque contre les éditions PUF soulève de nombreuses questions sur la liberté d’expression et l’intolérance face aux idées divergentes. Cela démontre également l’importance de maintenir un dialogue ouvert et respectueux sur des sujets controversés.
Il est essentiel de condamner de tels actes de vandalisme, qui vont à l’encontre des valeurs de liberté d’expression et de respect des biens d’autrui. En même temps, il est crucial de se rappeler l’importance du débat intellectuel et de la diversité des opinions dans une société démocratique.
La police a ouvert une enquête pour retrouver les responsables de cet acte de vandalisme. En attendant, les éditions PUF ont annoncé qu’elles ne se laisseraient pas intimider et que la publication du livre ‘Face à l’obscurantisme woke’ se poursuivrait.
Ce triste événement nous rappelle que la liberté d’expression est un droit inaliénable, mais souvent menacé. Il souligne également l’importance d’avoir des discussions ouvertes et respectueuses sur des sujets controversés, même si ces discussions peuvent parfois être inconfortables.”