Dans une décision rendue publique jeudi, la Cour suprême dit qu’elle entendra l’appel du Québec contre une décision de février 2024 du plus haut tribunal de la province, qui a jugé que les règles québécoises en matière de garderies sont discriminatoires.
Le gouvernement du Québec a perdu sa cause devant la Cour d’appel et devant le tribunal inférieur
La Cour suprême du Canada dit qu’elle entendra une contestation du gouvernement du Québec contre une décision d’un tribunal inférieur accordant aux demandeurs d’asile l’accès à des places de garderie subventionnées.
Dans une décision rendue publique jeudi, la Cour suprême dit qu’elle entendra l’appel du Québec contre une décision de février 2024 du plus haut tribunal de la province, qui a jugé que les règles québécoises en matière de garderies sont discriminatoires.
Cette décision a confirmé un jugement de la Cour supérieure du Québec.
La Cour d’appel a déclaré que les demandeurs d’asile titulaires d’un permis de travail valide ont le droit d’inscrire leurs enfants dans le système de garderie public du Québec. L’affaire provient d’une femme de la République démocratique du Congo qui avait un permis de travail mais dont les trois enfants se sont vu refuser l’accès à le réseau fortement subventionné.
Ils ont été refusés parce que les règles du Québec prévoyaient l’accès au système seulement une fois le statut de réfugié accordé par le gouvernement fédéral.
Les espaces du réseau très recherché coûtent environ 9 $ par jour.