Le prince William fait face à des critiques pour avoir gagné de l’argent grâce à une salle d’exposition de voitures secrète
L’idée selon laquelle le prince William génère des revenus substantiels grâce à un showroom automobile secret peut sembler exagérée, mais c’est bel et bien le cas.
Le futur roi gagnerait des centaines de milliers de livres par an grâce à cette source inattendue, ce qui a suscité les critiques de certains défenseurs de l’environnement.
Semblable à son père, William a cultivé la réputation de soutenir des causes environnementales, notamment le prix Earthshot. Cependant, son association avec le showroom automobile semble être en conflit avec ses principes écologiques, a rapporté Mirror.
Les revenus de William provenant de la salle d’exposition proviennent du duché de Cornouailles, dont il a hérité lorsque son père est monté sur le trône.
Le duché a acheté le vaste complexe de Solihull pour 15 millions de livres sterling en avril 2022 alors que le domaine royal appartenait toujours au roi Charles, selon iNews. Cet investissement générerait environ 800 000 £ de loyer annuel pour le duché.
Bien que le complexe d’exposition présente certains véhicules électriques et hybrides, il abrite également l’un des plus grands showrooms Volkswagen d’Europe, ainsi que des partenariats avec Volvo, Skoda et Mazda.
Ce lien royal a fait sourciller les écologistes, qui affirment qu’il porte atteinte à l’image verte de la famille royale.
Le duché de Cornouailles s’étend sur environ 52 000 hectares répartis dans 20 comtés d’Angleterre et génère des revenus par divers moyens, notamment les investissements financiers, le développement immobilier et la location de terrains.
Créée en 1337 par le roi Édouard III pour assurer un revenu à son fils, Édouard le « Prince Noir », une charte royale garantit que les terres du duché seront toujours détenues par le fils aîné du monarque britannique régnant.
Après que son père ait accédé au trône, le prince William a assumé la responsabilité de la gestion du domaine du duché de Cornouailles et se réunit désormais deux fois par an avec le Conseil princier, qui offre des conseils sur la gestion du domaine.