Le chanteur des One Direction, Liam Payne, frappé d’incapacité par « la consommation de diverses substances », n’a pas réussi à maintenir son équilibre dans le hall d’un hôtel avant de tomber inutilement, a indiqué lundi le parquet argentin.
Cinq personnes, un ami de Payne et quatre employés de l’hôtel, font face à des accusations criminelles en lien avec la chute mortelle de Payne à l’hôtel Casa Sur Palermo à Buenos Aires le 16 octobre, ont indiqué des responsables.
Un juge a approuvé les accusations portées contre le compagnon de Payne, le directeur de l’hôtel et le chef de la réception de l’hôtel. Tous trois ont été accusés d’« homicide par négligence ». selon les procureurs.
Ces prévenus ont fait preuve « d’imprudence, de négligence, de manque de compétence dans leur art ou leur profession ou de non-respect des règlements ou devoirs dont ils avaient la charge (ayant causé) la mort d’autrui », a indiqué le parquet.
Deux autres employés de l’hôtel ont également été inculpés pour avoir prétendument fourni de la drogue au défunt chanteur. Le directeur de l’hôtel, identifié par les initiales GAM, se trouvait dans le hall et a « remarqué l’état de santé » de Payne, « qui ne pouvait pas se lever en raison de l’état de santé ». consommation de diverses substances », selon le communiqué du parquet.
Ce directeur de l’hôtel « a permis, au moins par omission, que Payne soit emmené dans sa chambre quelques instants avant sa mort » et que la chambre 310 disposait d’un « balcon qui, compte tenu de la situation détaillée, constituait une source de risque ».
Le responsable de l’accueil, identifié par les initiales ERG, a également été témoin de l’état de vulnérabilité de Payne et aurait dû le garder « en sécurité dans une zone sans source de danger, en compagnie et jusqu’à ce qu’il puisse recevoir des soins médicaux », a indiqué le parquet. un représentant personnel voyageant avec lui, un compagnon appelé RLN, qui, selon les procureurs, est « criminellement responsable » de la mort de Payne en omettant « de se conformer à ses devoirs de soins, d’assistance et d’aide qu’il avait ».
Un serveur, identifié uniquement comme BNP, et un autre employé de l’hôtel, appelé EDP, ont tous deux été accusés d’avoir fourni « de la cocaïne en échange d’argent » à la victime.