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🥵 Réduction de la mortalité due aux vagues de chaleur

  • Les vagues de chaleur ont Ă©tĂ© associĂ©es Ă  environ 153 000 dĂ©cès par an dans le monde au cours de la pĂ©riode 1990-2019.
  • L’Europe est le pays le plus touchĂ©, avec le plus grand nombre de dĂ©cès par habitant liĂ©s aux vagues de chaleur.
  • Le nombre de dĂ©cès par habitant causĂ©s par les vagues de chaleur a diminuĂ© de 7,2 % par dĂ©cennie Ă  l’échelle mondiale.

Une étude approfondie montre l’impact des vagues de chaleur

Une nouvelle étude de grande envergure a cartographié le nombre de décès pouvant être liés aux vagues de chaleur dans le monde entre 1990 et 2019. Les chercheurs ont analysé les données de 750 sites dans 43 pays et régions.

Les résultats montrent que les vagues de chaleur ont causé en moyenne 153 078 décès par an au cours de cette période, ce qui correspond à 0,94 % de tous les décès survenus pendant les saisons chaudes.

L’Europe a enregistré la plus forte proportion de décès liés aux vagues de chaleur, avec 1,96 % des décès survenus pendant les saisons chaudes. La région a également enregistré le plus grand nombre de décès par habitant, avec 655 pour 10 millions d’habitants.

L’Europe du Sud et de l’Est sont des régions particulièrement vulnérables. À l’échelle nationale, la Grèce, Malte et l’Italie ont enregistré la plus forte proportion de décès liés aux vagues de chaleur.

Tendance à la baisse à l’échelle mondiale

Malgré une légère augmentation du nombre de jours de canicule au cours de la période, passant de 13,4 à 13,7 jours par an, le nombre de décès par habitant a diminué. À l’échelle mondiale, le taux de mortalité a diminué de 7,2 % par décennie par rapport à la moyenne sur 30 ans.

La baisse la plus marquée a été observée en Océanie, en Afrique de l’Ouest au sud du Sahara et dans certaines régions d’Asie du Sud. Toutefois, la charge de morbidité a augmenté en Asie de l’Ouest et en Europe de l’Est.

L’étude montre de grandes différences régionales dans la manière dont les vagues de chaleur affectent la mortalité. Les régions aux climats polaires et alpins ont enregistré la plus forte proportion de décès, tandis que les régions tropicales ont enregistré la plus faible.

Les pays à faible revenu ont connu la plus forte baisse du nombre de décès par habitant au fil du temps. Les chercheurs suggèrent que les résultats indiquent l’importance de prendre en compte à la fois la charge moyenne et les changements au fil du temps lors de la conception des stratégies d’adaptation.

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Harold Fortier: